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VIDÉO POUR DES RENCONTRES DE GROUPES

 PRÉSENTATION DES VIDÉO POUR DES RENCONTRES DE GROUPES


Rencontre internationale des AmiEs de la Sagesse 
Avec la Sagesse, soyons prophètes d’espérance

Saint-Laurent-sur-Sèvre
16 au 24 août 2017


Introduction
À la suite de notre pèlerinage sur les pas de nos fondateurs, nous désirons vous partager quelques brides de l’expérience que nous avons vécue.  Pour ce faire, nous avons choisi de vous présenter des capsules vidéo (16) qui ont des durées très variées (entre une et 17 minutes).  Vous comprendrez que celles-ci ne relatent pas en détail tout ce qui s’est déroulé lors du pèlerinage, mais elles veulent vous faire goûter quelques moments vécus sur les lieux des fondateurs et surtout vous inviter à réfléchir individuellement ou en groupe aux questions soulevées en cours de route[1].

Bon visionnement et bonne réflexion !

Hélène Leboeuf et Jean Plamondon
Amis de la Sagesse 
Groupe du Buisson ardent
Gatineau


1.    Objectifs du pèlerinage
C’est la première journée du pèlerinage (17 août 2017). Sr Louise Madore, supérieure générale, présente les objectifs de notre pèlerinage.

Visionnement de la capsule vidéo no. 1 (durée: 3:22)





Pistes de réflexion
-      Où allons-nous comme AmiEs de la Sagesse ?
-      Comment envisagez-vous l’avenir des AmiEs de la Sagesse ?
-      Comment voyez-vous l’avenir entre AmiEs de la Sagesse et Filles de la Sagesse ?
-      Comment voyez-vous ce réseau international ? 
-      Qu’est-ce que nous pouvons transformer dans notre monde ?
-      

N.B. À la suite de cette réflexion, nous vous invitons à communiquer vos idées et votre réflexion sur l’avenir des AmiEs à la responsable des AmiEs de la Sagesse, Sr Suzanne Léger ou encore à Hélène Leboeuf ou Jean Plamondon.
2.    Thème : Prophètes d’espérance
Au cours de la première journée du pèlerinage, un des AmiEs de la Sagesse, membre du comité organisateur de cette rencontre internationale, partage son expérience et son espérance en lien avec le thème de cette rencontre internationale. 

Réflexion à faire avant le visionnement de la deuxième capsule vidéo.
-      Qu’est-ce que le thème Prophètes d’espérance évoque en vous ?

Visionnement de la capsule vidéo no. 2 (durée: 3:07)



Piste de réflexion
-      Comme AmiE de la Sagesse, Fille de la Sagesse ou baptiséE, quelle espérance portez-vous? 
-      


3.    Poitiers, Notre-Dame La Grande
La deuxième journée du pèlerinage (18 août), nous avons visité Poitiers, lieu de naissance de Marie-Louise Trichet. C’est aussi là que Montfort et Marie-Louise se sont rencontrés et où ils ont œuvré pendant plusieurs années. 

Marie-Louise Trichet est née le 7 mai 1684 à Poitiers. Son père est procureur au siège présidial (ancien tribunal) de la ville. Sa mère élève leurs huit enfants. Ils ont habité juste à côté de l’église Notre-Dame La Grande. 
À l’école Notre-Dame, Marie-Louise reçoit une solide formation marquée par la dévotion mariale. Dans sa famille, elle expérimente et voit vivre les attitudes chrétiennes, telles que l’amour fraternel, le souci des pauvres, la patience dans l’épreuve.
À l’adolescence, sa foi se personnalise et un désir de vie contemplative grandit dans son cœur. En même temps, elle parcourt de plus en plus souvent le chemin qui mène de sa maison à l’hôpital général. Elle prend peu à peu conscience de l’immensité de la douleur humaine. Elle est tiraillée entre son désir de solitude, de contemplation et cet autre désir de consumer sa vie au service des plus défavorisés. 

Visionnement de la capsule vidéo no.3 (durée: 2:09)



Pistes de réflexion
-      Qu’est-ce qui vous frappe dans cette capsule vidéo ?
-      L’enfance de Marie-Louise a certainement contribué à éveiller sa foi. Et, vous qu’est-ce qui a fait naître votre foi ? 
-      



4.    Poitiers, l’Hôpital général
En avril 1701, Montfort se rend à la chapelle de l’hôpital général. Après 4 heures d’oraison, les pauvres admirent sa ferveur. Ils récoltent de l’argent pour lui faire l’aumône. Ils demandent ce prêtre à Mgr Girard afin qu’il devienne leur aumônier. La maison des pauvres lui apparaît comme le point de départ d’une mission. Montfort visite aussi les prisons, les hôpitaux, allant dans tous les lieux qui abritent des petits, des humbles, des déshérités, les considérant comme des « princes ». Il fait le catéchisme aux pauvres et aux enfants. Il prêche la Bonne Nouvelle. 
À l’hôpital, il est reçu par les pauvres comme l’envoyé de Dieu. Il réussit à gagner leur cœur et à mettre de l’ordre dans ce lieu sur les plans matériel et spirituel. Les pauvres se sentent aimés de lui et ils bénissent Dieu.
Montfort y organise une humble association de filles « qu’il veut dédier à la Sagesse du Verbe Incarné pour confondre les fausses sagesses des gens du monde. » Il appelle la salle : « La Sagesse » et il y dresse une Croix. Les membres de l’association sont des pensionnaires et du personnel de l’hôpital. À leur tête, il place l’une de ces pauvres, aveugle, intelligente et vertueuse. 
À la demande de Marie-Louise, Montfort l’enverra vivre à l’hôpital pour s’occuper des pauvres. Elle y vivra son noviciat. Il la laissera 10 ans dans ce lieu et dans le silence. 
Le 2 février 1703, elle revêt l’habit des Filles de la Sagesse. Elle reçoit un nouveau nom : « de Jésus ». Il n’y a pas encore de congrégation et pas de règle. St Louis-Marie ne s’en tient pas là : il lui demande d’aller « faire un tour en ville » ainsi vêtue. Elle parcourt le quartier de Montierneuf peuplé de gens qui la connaissent ; elle passe la rue des Trois Rois où habite sa grand-mère. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 4 (durée: 3:07)



Pistes de réflexion
-      Qu’est-ce qui vous rejoint ou vous questionne dans cette capsule vidéo ?
-      Qui sont les pauvres de votre milieu ? Où sont-ils ?
-      Comment nommez-vous vos propres pauvretés et vos fragilités ? 
-      Comment Marie-Louise et Montfort peuvent-ils inspirer votre ouverture à toutes les formes de pauvretés que vous rencontrez aujourd’hui ?
-      Comme chrétienNE, est-ce que vous craignez les regards ?
-      Êtes-vous conforme à la société qui vous entoure ? 
-      


5.    Poitiers, Montbernage
C’est à Montbernage que Mgr de la Poype (alors évêque de Poitiers) envoie Montfort en juin 1705. C’est un quartier très pauvre. Les gens y vivent dans l’ignorance des vérités chrétiennes. Montfort visite, bénit, console, encourage…  À la fin de sa mission, il confie les gens à Notre-Dame des Cœurs. En face de cette chapelle, Montfort a érigé une croix. 
Avant de quitter Poitiers, Montfort s’est adressé aux habitants de Montbernage dans une lettre dont voici un extrait :
Souvenez-vous donc, mes chers enfants, ma joie, ma gloire et ma couronne, d’aimer ardemment Jésus-Christ, de l’aimer par Marie, de faire éclater partout et devant tous votre dévotion véritable à la très Sainte Vierge, notre bonne Mère, afin d’être partout la bonne odeur de Jésus-Christ, afin de porter constamment votre croix à la suite de ce bon Maître et de gagner la couronne et le royaume qui vous attend. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 5 (durée: 1:33)


Pistes de réflexion  
-      Quelle est votre relation à Marie ?
-      À Jésus par Marie…dit Montfort. Pour vous, qu’est-ce que cela veut dire? Comment est-ce que cela se manifeste dans votre vie ?
-      


6.    La Rochelle
À la troisième journée du pèlerinage (19 août), nous nous sommes rendus à La Rochelle. 

À l’époque de Montfort, La Rochelle n’est qu’un village de pêcheurs, mais aussi la plateforme du protestantisme. C’est aussi un port de commerce important avec la « traite des noirs ». Le village s’enrichissait ainsi de tout ce trafic. Les deux évêques successifs accueillent donc volontiers Montfort. De 1711 à 1715, il y a entrepris trois missions importantes : l’une pour les hommes, l’autre pour les femmes et la troisième pour les soldats. 
Avant de prêcher la mission de Lhoumeau (petit village littoral situé tout près de La Rochelle), il a donné comme une mission à l’Hôpital St-Louis. Cet hôpital a été fondé en même temps que celui de Poitiers et y présente les mêmes difficultés : carence en gouvernantes, désordres en tous genres. Une décision est prise de changer la direction. St Louis-Marie qui est un familier de cette maison des pauvres saisit l’occasion pour offrir les services de Sr de la Conception (Catherine Brunet, 2eFille de la Sagesse) le 21 août 1715. Il réalise ainsi le double engagement apostolique prévu pour les Filles de la Sagesse : l’éducation et le soin des malades. 
Pour la Famille monfortaine, ce lieu est un lieu saint : St Louis-Marie y a souvent prêché et les Missionnaires montfortains y ont souvent été aumôniers. C’est aussi le lieu de la sépulture de Sr Catherine Burnet et de Mgr de Champflour. 

En 1714, Marie-Louise de Jésus et Catherine Brunet quitteront Poitiers pour La Rochelle à la demande de Montfort. À la fin de l’année 1715, la Congrégation des Filles de la Sagesse est instituée à La Rochelle par la réalisation des éléments suivants : a) un nom : Filles de la Sagesse, b) une mission : la fin intérieure : « l’acquisition de la divine Sagesse » ; la fin extérieure « L’, instruction des enfants des villes et des campagnes dans les écoles charitables, le bon gouvernement des pauvres dans les hôpitaux, la direction des maisons de retraite », c) une supérieure : Sr Marie-Louise de Jésus, d) une règle approuvée le 1eraoût 1715 par l’évêque de La Rochelle et e) un début de recrutement : Marie Valleau, Marie Régnier et des jeunes filles se présentent. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 6 (durée: 3:42)



Pistes de réflexion
-      Par quels appels urgents vous laissez-vous interpeler ? Comment y répondez-vous ?
-      Marie-Louise a dû quitter Poitiers (« le connu ») pour se rendre à La Rochelle (« l’inconnu »). Dans votre vie, avez-vous déjà expérimenté une situation similaire ? Comment l’avez-vous vécue ? Qu’avez-vous retenu de cette expérience ?
-      En répondant à l’appel de Montfort, on peut dire que Marie-Louise a fait preuve d’audace. Et vous, avez-vous osé risquer quelque chose pour Dieu dans votre vie? Comment cela s’est-il manifesté ? 
-      


7.    Montfort-sur-Meu
Le lundi 21 août, nous avons pris la direction de Montfort-sur-Meu, lieu de naissance de Montfort. 

Louis-Marie porte le nom de sa ville natale : Montfort. Montfort-sur-Meu est une petite cité bretonne qui semble avoir conservé (vers le milieu du XVIIe siècle) la foi bretonne : une foi robuste comme le granit du sol. 
Le père de Louis-Marie, Jean-Baptiste Grignion, avait une forte personnalité et un tempérament violent. Sa mère, Jeanne Robert, était une femme silencieuse, discrète et spirituelle. 
Louis-Marie est né le 31 janvier 1673 dans une fratrie de 18 enfants. C’est dans la grande pièce du milieu que la tradition place sa naissance. Selon la tradition, l’enfant aurait ajouté le prénom de « Marie » à celui de son baptême le 1erfévrier 1673, le jour de sa confirmation, comme signe d’amour pour la Vierge. Très vite, il est mis en nourrice chez une excellente chrétienne, la mère André, fermière de la Bachelleraie. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 7 (durée: 1:31)



Pistes de réflexion

-      Quel est votre lieu de naissance ? 
-      Quels sont les noms qui apparaissent sur votre baptistaire ? 
-      Qu’est-ce qu’on vous a raconté de votre baptême ? 
-      Quel sens donnez-vous à votre baptême aujourd’hui ?
-      


8.    Cesson-Sévigné
En revenant de Montfort-sur-Meu, nous nous sommes arrêtés au Pont de Cesson qui se trouve à 5 km de Rennes. 

Au cours de son adolescence au collège des Jésuites, St Louis-Marie a entendu parler du séminaire de Saint Sulpice par Mademoiselle de Montigny et un jour, elle lui écrit que la porte de ce séminaire s’ouvre pour lui. Il est heureux de cette bonne nouvelle. Après avoir obtenu l’approbation de ses parents, il prépare son départ. 
La distance de Rennes à Paris est de 300 km environ. Un cheval lui est offert, mais il le refuse. Il n’accepte alors qu’un habit neuf, dix écus et un petit paquet qu’il porte sur son dos. 
Il fait ses adieux à sa famille et à son pays, « avec un dégagement si grand » qu’il étonne même son ami Blain car l’amour de Dieu est le plus fort et il le transporte.
En 1692, son oncle, l’abbé Alain Robert, son frère Joseph et son ami l’accompagnent jusqu’au Pont de Cesson. Là, il se séparent en s’embrassant. 
Le voilà seul, sur la route vers Paris. 

Si vous ne connaissez pas la suite de l’histoire, faites une petite recherche ou demandez à unE AmiE de la Sagesse ou une Fille de la Sagesse de vous la raconter.

Traverser un pont, cela ne semble pas grand-chose. Cependant, quelques mètres peuvent avoir une valeur hautement symbolique et, en ce moment même, le Pont de Cesson prend dans la vie de St Louis-Marie un sens particulier : il fait un geste de rupture et de libération. Il vient de poser là, la pierre angulaire de son édifice intime. C’est la pierre qui scelle le passé et le commencement de son aventure avec Dieu-Providence. Il endosse l’habit de l’abandon filial et sa suite radicale du Christ. 

Pistes de réflexion avant le visionnement de la capsule vidéo
-      Qu’est-ce que vous savez de la traversée du pont de Cesson par Montfort ?

Individuellement, réfléchissez à la question suivante
-      Quelles sont les ruptures dans votre vie qui ont pu être douloureuses, mais qui vous ont fait grandir ?

Visionnement de la capsule vidéo no. 8 (durée:4:45)



Pistes de réflexion
-      Pour ceux et celles qui le désirent, partagez vos réactions à la suite de la traversée du Pont de Cesson. 
-      Vous pouvez également partager votre réflexion liée à la question concernant les ruptures dans votre vie.
-      En quelles circonstances de votre vie avez-vous été appelé à vivre l’abandon à la Providence ?
-      


9.    Pontchâteau
Le mardi 22 août, nous avons passé la journée à Pontchâteau. 

St Louis-Marie est en pleine mission dans le Pays nantais. Il est accompagné par Mr des Bastières. La mission finie, l’homme quitte Montfort brusquement, sans lui en avoir dit la raison. Quelques jours plus tard, un de ses frères se sépare de lui en lui faisant des reproches. Devant cette double épreuve, il chante. C’est dans ces sentiments de joyeux abandon qu’il commence la mission de Pontchâteau. Elle dure du milieu du mois d’avril aux premiers jours de mai 1709. Les habitants lui sont favorables.
Il annonce alors aux paroissiens de Pontchâteau son désir d’élever un calvaire monumental. La nouvelle est accueillie avec enthousiasme. Devant son projet, il intéresse toute la région. Vingt mille personnes y travaillent. Il donne son plan et lance les travaux, mais il n’interrompt pas sa mission apostolique. Il passe dans de nombreuses paroisses pendant la construction, mais accourt sans cesse vers Pontchâteau afin de donner des ordres et encourager les travailleurs du calvaire. 

Au mois d’août 1710 quand il revient d’une de ses missions, le calvaire est dressé. Toute la doctrine chrétienne s’y trouve résumée par les différentes représentations ainsi que toute la spiritualité montfortaine. On prépare alors une bénédiction solennelle pour le 14 septembre 1710, fête de l’exaltation de la Sainte Croix. Toute la région y est invitée. Malgré quelques objections soulevées lors de la visite pastorale à Pontchâteau, Mgr de Bauveau a donné son consentement. Plus de vingt mille personnes arrivent du Pays nantais et même de la Bretagne, de l’Anjou, du Poitou. 

Or, le 13 septembre, veille de la fête, un recteur se présente et le demande. Il vient de la part de l’évêque avec l’interdiction de bénir le calvaire. Il part à pied vers Nantes : il cherche à comprendre, il cherche la lumière, il n’y va pas pour se plaindre ni protester. Pendant ce temps, le 14 septembre, le programme de la fête se déroule normalement. Mais, il manque à tous. 
Il est de retour le 15 septembre. La foule est encore là sur le terrain du calvaire. Il ne peut que confirmer l’interdiction de l’évêque. Donnant un dernier regard à cette merveille, il ne songe plus qu’à continuer le travail des missions. 

Puis, le dimanche suivant, par une lettre, l’évêque lui interdit d’accomplir son ministère de prédication et de la confession dans tout le diocèse. En la lisant, il pleure. C’est une des plus amères déceptions de sa vie. Il retourne voir l’évêque et cette fois-ci, il l’informe de la destruction de son Calvaire. Son attitude est si admirable que l’évêque ne peut s’empêcher de dire à son vicaire : « Monsieur de Montfort est un grand saint ou le plus grand des hypocrites ! ».

Tous ceux qui l’ont approché en ces jours, éprouvent la même impression : savoir supporter pareille épreuve avec une calme sérénité, sans raideur, c’est à leurs yeux la marque de la plus haute sainteté. Puis, il va se recueillir chez les Jésuites. Il apparaît toujours davantage comme un homme aux mains vides…

Visionnement de la capsule vidéo no. 9 (durée: 3:27)



Pistes de réflexion
-      Comment communiquez-vous la Sagesse autour de vous ? Quels sont les moyens que vous utilisez ?
-      Dans ce monde déchristianisé, comment proclamer l’Amour de Dieu pour tous jusqu’au don de sa vie ?
-      Quels sont les témoins que vous connaissez dans votre milieu ? De quelle manière vous interpellent-ils ?
-      


10. Pontchâteau… la croix
Le Père Georges Madore nous a partagé quelques mots sur le sens de la croix pour Montfort. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 10 (durée:3:59)


Pistes de réflexion 
-      Pour vous, quel est le sens de la croix aujourd’hui ?
-      Quel nom porte votre (vos) croix ?
-      

Intériorisation
Prenez le temps de regarder en silence la croix. 
Puis, prenez quelques minutes pour noter ce qui vous touche en regardant cette croix. 

Pistes de réflexion
-      Quelles paroles d’Évangile montent en vous ?
-      Qu’est-ce qui est venu vous rejoindre et que vous désirez garder en mémoire ?
-      


11. Pontchâteau…clin d’œil
Sr Chantal Rabier nous a raconté une petite histoire…

Visionnement de la capsule vidéo no. 11 (durée: 1:06)




Piste de réflexion
-      Que pensez-vous de cette histoire ?
-      Comment la présence de Marie se présente-t-elle à vous ?
-      Comment reconnaissez-vous la Sagesse chez les gens qui vous entourent ?
-      


12. Chanter en route
Tout au long du pèlerinage, nous avons prié et chanté sur la route. Sr Marie-Laure Paillet nous a partagé le sens qu’elle donne au chant dans le cadre d’un pèlerinage. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 12 (durée:3:41)



Pistes de réflexion
-      Est-ce qu’il y a un chant ou une musique qui vous incite à prier ou à méditer ? 
-      Comment le chant ou la musique vous aide à prier ?
-      Qu’est-ce qui vous aide à mieux prier ?
-      

Suggestions
-      Chantez quelques chants qui vous invitent au recueillement.
-      Méditez en écoutant un chant ou une musique.
-      


13. Mervent
Le mercredi 23 août, nous avons visité Mervent, un charmant petit village du sud-est de la Vendée. Au cœur de la forêt de Mervent (appelée auparavant forêt de Vouvant) se trouve un ermitage très célèbre. Montfort y séjourne à trois moments différents : en juin, en septembre et en octobre 1715. Entre temps, il prêche les missions de Mervent, de Fontenay-le-Comte, Vouvant et de Villiers en Plaine.
La forêt de Mervent l’a captivé à cause de sa solitude profonde, de ses rochers abrupts, de la majesté de ses arbres ; elle lui semblait la nature vierge, telle qu’elle était sortie des mains du Créateur. C’est un véritable lieu pour la retraite et la contemplation (Méditer le Cantique 157). 
Dans « ce désert », il cherche la tranquillité, la paix, le contact avec Dieu dont son âme, ardente et mystique, ressent le besoin. Encore aujourd’hui, le souvenir du Père de Montfort y reste très fort. 

André, un Ami de la Sagesse, nous a accueillis dans la forêt de Mervent avec les autres membres de son groupe. Il nous a partagé son expérience d’être Ami de la Sagesse et nous a présenté en quelques mots les lieux que nous avons visités. 

Visionnement de la capsule vidéo no. 13 (durée:4:17)



Pistes de réflexion
-      Qu’est-ce que je connais du passage de Montfort à Mervent ?
-      Quels sont les endroits où vous aimez vous recueillir? 
-      Comment dans la contemplation de la Création pouvez-vous trouver l’enracinement d’un engagement en faveur de la sauvegarde de la Terre ?
-      ….


14. Être prophète
Durant la semaine, lors d’une célébration, nous avons réfléchi sur le sens d’être prophète aujourd’hui. La réflexion porte sur l’audace de nos fondateurs et de leur ami, le Marquis de Magnanne, à transmettre la Sagesse.

Visionnement de la capsule vidéo no. 14 (durée:2:54)



Pistes de réflexion
-      Aujourd’hui, qu’est-ce que ça signifie pour moi « être prophète » ?
-      Que faites-vous de l’héritage reçu des fondateurs ?
-      Suis-je prophète dans mon milieu ? Comment ?
-      Quels obstacles rencontrez-vous ?
-      


15. La Sagesse
Le mercredi 23 août, c’est la messe de clôture à la basilique de St-Laurent sur Sèvre. Le Père Georges Madore  fait une homélie sur le sens de la Sagesse. 

Question à répondre avant le visionnement.
-      Qu’est-ce que la Sagesse pour vous ?

Visionnement de la capsule vidéo no. 15 (durée:9:24)



Pistes de réflexion
-      Quels liens faites-vous entre les idées émises avant le visionnement et l’homélie de Georges Madore sur la Sagesse ?
-      Comment la Sagesse se manifeste-t-elle dans votre vie ?
-      


16. Témoignages 
Dernière journée : des AmiEs et des Filles de la Sagesse de divers pays partagent avec quoi ils repartent à la fin de ce pèlerinage. 

Visionnement des capsules vidéo no. 16 (durée:19:16)



Pistes de réflexion
En terminant le cheminement que nous vous avons proposé à la suite du pèlerinage à Saint-Laurent-sur-Sèvre à l’été 2017, nous vous invitons vous aussi à partager vos réactions et à réfléchir sur les raisons qui vous permettent d’espérer dans votre milieu.
-      Après avoir visionné l’ensemble des capsules vidéo et avoir réfléchi individuellement ou en groupe aux différents thèmes, qu’est-ce qui vous a le plus inspiré ? 
-      Quelles questions demeurent en vous ? Qui pourrait vous aider à répondre à ces questions ? Avec qui aimeriez-vous en parler ?
-      Quels moyens mettrez-vous en œuvre pour poursuivre votre quête de Sagesse ?
-      


Pour aller plus loin
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[1]Il est à noter que le texte présentant les lieux visités et plusieurs questions sont tirés du livret qui nous a été remis lors de la rencontre internationale à l’été 2017. 

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